La chute du bassin est un facteur clé de la biomécanique de la course à pied, qui affecte l'efficacité de la foulée et le risque de blessure. Cet article explique sa définition, sa mesure et son importance pour la performance athlétique.
La course à pied a toujours fait partie de ma vie. De 2007 à 2015, j'ai participé à des compétitions de 400 m avant de devenir un coureur occasionnel de 10 km en 2020. Avant de m'attaquer à mon premier marathon, je courais régulièrement des distances de 10 km, me poussant à m'améliorer à chaque séance. Mais le marathon représentait un tout nouveau défi, qui mettrait à l'épreuve mon endurance, mon efficacité et ma force mentale comme jamais auparavant.
Le 6 octobre 2024, j'ai terminé mon premier marathon en 3 heures et 23 minutes - uneétape qui n'aurait pas été possible sans l'analyse de la forme de course d'Ochy, qui m'a aidé à affiner ma forme. En cours de route, j'ai également établi un nouveau record personnel pour le semi-marathon, améliorant mon temps de 1:32 à 1:29. Mais ce voyage n'était pas seulement une question de temps, il s'agissait aussi d'optimiser l'efficacité de ma course, de comprendre mon corps et d'apprendre à maintenir une bonne forme même en cas de fatigue.
J'ai commencé à m'entraîner quatre mois avant le marathon, en commençant par une première analyse d'Ochy le 4 juin. Mon score d'efficacité ? 71%. Pas mal, mais je savais que je pouvais encore m'améliorer. J'étais déterminé à devenir plus fort, plus rapide et plus efficace dans les mois à venir.
J'ai structuré mon entraînement autour de quatre courses par semaine, en incorporant un mélange d'entraînement par intervalles, de courses de longue distance et de joggings de récupération faciles. En outre, je me suis engagée à faire deux séances de musculation par semaine, en suivant le plan de musculation d'Ochy, qui se concentre sur des exercices que je peux faire à la maison. Ces séances ciblaient les muscles faibles qui affectaient ma forme, ce qui m'aidait à courir plus efficacement et à ne pas me blesser. Malgré tous mes efforts, la vie était imprévisible. Pour concilier mes responsabilités de PDG et de père, je devais manquer des séances, procéder à des ajustements et parfois courir à des heures indues. Mais j'ai continué.
Ma deuxième analyse d'Ochy, le 4 juillet, a révélé une légère baisse de 69 %. Au début, j'étais frustré. N'étais-je pas en train de m'améliorer ? Étais-je en train de me surentraîner ? Cependant, les données m'ont incité à réévaluer ma forme plutôt que de me concentrer uniquement sur la vitesse et l'endurance. J'ai modifié ma posture et ma cadence, déterminé à voir une amélioration lors de ma prochaine analyse.
Une semaine plus tard, le 11 juillet, mes efforts ont porté leurs fruits. Mon score d'efficacité a grimpé à 83 %, un bond énorme. C'était la preuve que de petits ajustements pouvaient donner des résultats significatifs. Le 26 juillet, mon score est resté élevé à 82 %, montrant que je devenais plus cohérent dans ma mécanique de course. Ochy m'a aidé à rester responsable, en suivant l'efficacité de mes mouvements plutôt que mon kilométrage ou mon rythme.
Le 14 août a marqué une nouvelle étape : un score d'efficacité de 86 %. Je me sentais plus fort et plus confiant, et mes courses me semblaient plus fluides. Cependant, la course à pied n'est pas toujours synonyme d'amélioration en ligne droite. Le 25 août, lors d'un semi-marathon, mon efficacité a chuté à 74 % au bout de 20 km. Ce fut un moment clé d'apprentissage : la fatigue entraîne une baisse de forme, mais l'objectif est de minimiser cette baisse. Une bonne forme en cas de fatigue est ce qui sépare les bons coureurs des grands coureurs. Malgré la baisse d'efficacité, j'ai réussi à améliorer mon temps au semi-marathon, le faisant passer de 1:32 à 1:29. Cela prouve que l'efficacité est importante, mais que le maintien d'une bonne mécanique en cas d'épuisement est crucial pour des performances optimales.
Le 6 septembre, j'ai fait ma dernière analyse avant le marathon, avec un score de 80%. Je me sentais prête. Mon corps était prêt, mon esprit concentré. Le marathon était dans un mois exactement, et tout ce que je devais faire était de maintenir mon entraînement sans me surcharger.
Le 6 octobre est arrivé. La course elle-même a été une expérience incroyable, pleine de hauts et de bas. L'adrénaline de l'événement, les acclamations de la foule et le fait de savoir que des mois de préparation avaient abouti à ce moment m'ont permis de tenir le coup. J'ai franchi la ligne d'arrivée en 3 heures et 23 minutes, un exploit que je n'oublierai jamais.
Après le marathon, j'ai pris une pause bien méritée. Ma première course, le 20 octobre, m'a permis d'obtenir un score d'efficacité de 72 %. Pas mal, si l'on considère que je sortais tout juste d'une période de récupération après un marathon. Cependant, la vie s'est mise de la partie et l'entraînement a été relégué au second plan en novembre et décembre.
Lorsque j'ai finalement repris un entraînement structuré le 11 janvier, mon efficacité avait chuté à 59 %. Cela m'a rappelé brutalement que la cohérence est essentielle dans la course à pied. La pause m'a coûté cher, mais elle a aussi ravivé ma motivation. Je m'étais inscrite au semi-marathon de Berlin en avril et il était temps de reconstruire.
Deux semaines après le début de mon nouveau cycle d'entraînement, j'ai refait une analyse Ochy le 28 janvier. Mon score est remonté à 70 %. Je progressais, lentement mais sûrement. Le voyage était loin d'être terminé et j'avais un nouvel objectif en tête : courir le semi-marathon de Berlin plus fort et plus efficacement que jamais.
Avec le recul, je constate que mon parcours sur le marathon n'a pas seulement consisté à m'entraîner dur, mais aussi à m'entraîner intelligemment. Voici quelques enseignements clés dont tout coureur peut tirer profit :
Si vous envisagez de courir un marathon ou d'améliorer vos performances en course à pied, mon histoire est la preuve que c'est possible, même avec un emploi du temps chargé. L'utilisation d'outils comme Ochy peut vous aider à optimiser votre entraînement, ce qui vous permet de courir plus intelligemment, et pas seulement plus fort.
A bientôt sur les routes, chers coureurs !
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